Il n'y a plus que des sots métiers (histoire un peu stone)
La semaine dernière, grand beau temps. Parfait, me dis-je, pour une dernière tonte.
Jusque là, rien de bien original me direz-vous.
Et vous avez raison !
Je tonds les feuilles, les mottes laissées par les taupes,
les jouets des filles,
bref, tout va bien.
Je tonds aussi quelques cailloux.
Il faut dire que la terre du Pays Fort est lourde et dure.
Un caillou, deux cailloux...
Comme d'habitude quoi.
Mais tout à coup,
CLAC !
Le caillou fatal.
Le moteur tousse, s'arrête. Je relance la machine, non mais quoi alors,
Voilà qu'elle me tond un rond d'herbe !
Gasp.
Qu'importe, ne nous laissons pas abattre,
c'est l'occasion d'aller chez le revendeur local,
celui qu'on appelle encore par le nom de famille de son prédecesseur,
et pas par son enseigne,
faire retaper la lame et lui donner un coup d'affûtiau,
ça sera pas du luxe.
Faisons travailler le commerce local, que diable !
- Bonjour Monsieur, patati, patata... Pouvez-vous me réparer ça ?
- Non.
- Non ? Comment ça non ?
- Non, je peux pas, si ça ne tient pas je vais avoir un problème avec vous,
et surtout un problème d'assurance.
- Ah bon, vous pouvez pas aplatir ma lame en acier trempé à coup de marteau ?
- Non, il faut en racheter une. D'ailleurs, on voit qu'elle est usée, cette lame.
- Ben oui, il se trouve que j'ai eu l'idée de tondre l'herbe avec, je sais, c'est con, une lame toute neuve... et là je sens que je vais tondre autre chose si vous ne voulez pas réparer cette lame !
Rien à faire, on ne répare plus.
A se demander comment il se fait que les aciéries du Nord ont disparu.
Par contre, pour les forgerons et les rémouleurs, j'ai compris.
C'est la faute aux assurances.
Eh oui, l'histoire n'est pas de Franck !
L'auteur de ce blog étant en (in)disponiblité pour convenance personnelle,
(qui a dit "une grosse flemmingite qui tourne à la pandémie familiale", hein, qui ?),
si ça vous tente de raconter un truc "à la façon de...",
vous aussi, apportez votre contribution !
(cliquez sur le lien "contact" en bas)
C'était Gwen en direct du micro d'à côté,
je rends l'antienne, à vous les studieux !
Jusque là, rien de bien original me direz-vous.
Et vous avez raison !
Je tonds les feuilles, les mottes laissées par les taupes,
les jouets des filles,
bref, tout va bien.
Je tonds aussi quelques cailloux.
Il faut dire que la terre du Pays Fort est lourde et dure.
Un caillou, deux cailloux...
Comme d'habitude quoi.
Mais tout à coup,
CLAC !
Le caillou fatal.
Le moteur tousse, s'arrête. Je relance la machine, non mais quoi alors,
Voilà qu'elle me tond un rond d'herbe !
Gasp.
Qu'importe, ne nous laissons pas abattre,
c'est l'occasion d'aller chez le revendeur local,
celui qu'on appelle encore par le nom de famille de son prédecesseur,
et pas par son enseigne,
faire retaper la lame et lui donner un coup d'affûtiau,
ça sera pas du luxe.
Faisons travailler le commerce local, que diable !
- Bonjour Monsieur, patati, patata... Pouvez-vous me réparer ça ?
- Non.
- Non ? Comment ça non ?
- Non, je peux pas, si ça ne tient pas je vais avoir un problème avec vous,
et surtout un problème d'assurance.
- Ah bon, vous pouvez pas aplatir ma lame en acier trempé à coup de marteau ?
- Non, il faut en racheter une. D'ailleurs, on voit qu'elle est usée, cette lame.
- Ben oui, il se trouve que j'ai eu l'idée de tondre l'herbe avec, je sais, c'est con, une lame toute neuve... et là je sens que je vais tondre autre chose si vous ne voulez pas réparer cette lame !
Rien à faire, on ne répare plus.
A se demander comment il se fait que les aciéries du Nord ont disparu.
Par contre, pour les forgerons et les rémouleurs, j'ai compris.
C'est la faute aux assurances.
Eh oui, l'histoire n'est pas de Franck !
L'auteur de ce blog étant en (in)disponiblité pour convenance personnelle,
(qui a dit "une grosse flemmingite qui tourne à la pandémie familiale", hein, qui ?),
si ça vous tente de raconter un truc "à la façon de...",
vous aussi, apportez votre contribution !
(cliquez sur le lien "contact" en bas)
C'était Gwen en direct du micro d'à côté,
je rends l'antienne, à vous les studieux !