Larmes de crocrocus

Publié le par Franck


Regarder la pluie
Déposer ses perles d'eau
Comme autant de larmes
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article
E
Je reviens sur cet article que j'avais déjà apprécié, hier. C'est un très bel article, une illustration parfaite de l'état du moment, en totale adéquation, tant au niveau du titre (avec un brin d'humour, malgré tout!), de la photo que du haïku. L'art de dire les choses sans pour autant les nommer ; et pourtant, tout le monde a compris.
Répondre
F
Que dire ? Mes lecteurs sont perspicaces... Merci...
A
toute mon amitié dans ces instants délicats...
Répondre
F
Merci beaucoup...
M
Très beau haïku (et très belle photo) - qu'on comprend encore mieux quand on sait dans quel contexte il a été composé, mais qui n'a pas besoin de ce contexte pour être apprécié. Souvent, c'est quand on a les émotions à fleur de peau, si j'ose dire, qu'un haïku s'impose presque de lui-même, et il faut le capter - souvent, le premier jet est déjà bon !
Répondre
F
Vous avez raison, c'est un premier jet et je suis sorti pour faire la photo qui devait accompagner ce haïku... Il est vrai que "Pépère", comme on l'appelait avec tendresse, nous manque beaucoup, dans nos habitudes de le sortir, de le nourrir, dans les petits bruits qui accompagnaient sa présence, celui du colier qui cogne le carrelage, ses ongles qui faisaient de même, sa respiration et ses soupirs (oui il soupirait), tellement de choses qui disent aujourd'hui son absence...